Didier Deschamps, Parrain des 30 ans de l’Opération Pièces Jaunes 2019

Didier Deschamps, Parrain de l'opération Pièces Jaunes 2019
Didier Deschamps, Parrain de l'opération Pièces Jaunes 2019
Didier Deschamps, Parrain de l’opération Pièces Jaunes 2019

Didier Deschamps sera notamment présent pour le lancement de cette campagne anniversaire le mercredi 9 janvier 2019 à l’Hôpital Necker Enfants Malades – APHP.

Particulièrement sensible aux actions visant à l’amélioration de l’accueil et des conditions de vie des enfants malades, des adolescents et des personnes âgées à l’hôpital, Didier Deschamps a déjà soutenu à de nombreuses reprises lesprojets menés par la Fondation Hôpitaux de Paris – Hôpitaux de France et sa Présidente, Bernadette Chirac.

Christian Karembeu, fidèle à l’opération depuis 8 ans, accueillera ainsi son ami et ancien coéquipier de l’équipe de France pour promouvoir la collecte et aller à la rencontre des bénéficiaires comme des donateurs.

« Lorsque Bernadette Chirac m’a sollicité pour parrainer l’Opération Pièces Jaunes 2019, j’ai immédiatement accepté sa proposition. La cause que la Fondation Hôpitaux de Paris – Hôpitaux de France soutient depuis trente ans est essentielle. J’ai toujours dit que le fait de porter le maillot de l’équipe de France offrait le privilège immense de pouvoir donner du bonheur aux gens. En soutenant l’opération Pièces Jaunes, nous pouvons apporter du réconfort aux enfants, aux adolescents et aux personnes âgées qui luttent contre la maladie. Cette cause est noble et mérite le soutien du plus grand nombre. C’est dans cet esprit que j’accompagnerai l’opération Pièces Jaunes dès le mois de janvier 2019. » déclare Didier Deschamps, Parrain de l’opération Pièces Jaunes 2019

 

À quoi servent les dons ? Les champs d’action spécifiques de la Fondation HP-HF

Le rapprochement des familles : Construction de Maisons des parents, de chambres parents-enfant, d’espaces Famille…

Le développement d’activités : Aménagement de salles de jeux, de salles de sport, création d’ateliers cuisine, organisation de séjours et de sorties en minibus.

L’amélioration de l’accueil et du confort : Décoration des chambres et couloirs, aménagement d’espaces d’accueil, fourniture de fauteuils roulants…

La lutte contre la douleur : Achat de pompes d’analgésie auto contrôlées, coussins de positionnement, matelas anti-escarres…

La prise en charge des adolescents en souffrance : Création de structures adaptées et de services spécialisés pour adolescents.

La transition adolescents-jeunes adultes : Développement de nouvelles pratiques et lieux de prise en charge pour faciliter le passage des jeunes malades chroniques de la pédiatrie à la médecine d’adulte.

Le répit : Accompagnement de projets pour aider les aidants face à la maladie de leurs proches.

Un nouveau lieu pour accompagner les patients

Le projet, porté par le Dr Perrine Marec-Bérard, pédiatre oncologue au sein de l’Institut d’hématologie et d’oncologie pédiatrique de Lyon (IHOPe) et coordinatrice du Dispositif adolescents et jeunes adultes en cancérologie (DAJAC), a pu voir le jour grâce à une dotation majeur de 100 000 euros de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France dans le cadre d’un projet visant à favoriser la pratique d’une activité physique adaptée (APA) pour les adolescents et jeunes adultes (AJA) atteints d’un cancer. Il s’agit d’un espace dit de « transition » pour le passage à la vie adulte, avec mise à disposition d’outils d’Education thérapeutique et de supports d’information afin de favoriser la qualité de vie pendant et après cancer et la prévention des risques de second cancer.

L’espace Pyramide du Centre Léon Bérard, c’est :
• un espace d’environ 70 m² comportant des machines (5 vélos dont 1 vélo elliptique, un rameur, un tapis de course…)
• un espace de 50 m² pour les cours collectifs (auparavant donnés par les professeurs d’APA dans une salle de la MJC Monplaisir)
• 1 salle pour les ateliers d’éducation thérapeutique et 2 bureaux pour les entretiens individuels de patients
• un bureau open-space pour les professeurs d’APA et d’éducation thérapeutique
• un espace de 23 m² pour les kinés
• deux vestiaires

Adolescents et jeunes adultes, une prise en charge spécifique depuis 2012 !

Le dispositif DAJAC a été retenu début 2012, à l’issue d’un appel à projet de l’Institut national du cancer. « Ses objectifs sont d’améliorer radicalement la prise en charge des AJA atteints de cancer adressés dans l’une ou l’autre de nos institutions en améliorant la qualité des soins, l’expertise scientifique et la qualité de la prise en charge sociale et psychologique », précise le Dr Perrine Marec-Bérard. Le dispositif comporte deux grands volets : un volet médical et soignant qui propose l’organisation et la coordination de la prise en charge spécifique de cette population depuis le diagnostic jusqu’à l’après cancer et un second volet psycho-social pour offrir un accompagnement adapté aux préoccupations des ados et jeunes.

Découvrez le témoignage d’une patiente…

Prélèvement à la source et dons à la Fondation

Prélèvement à la source
Prélèvement à la source
Prélèvement à la source et dons

Concrètement que se passe-t-il pour les dons ?

92% des donateurs français sont des donateurs fidèles, qui donnent chaque année régulièrement : ce sont ces donateurs qui sont visés par cette mesure d’avance.

Prenons l’exemple d’un donateur imposable qui donne 300 € chaque année à une association d’intérêt général qui bénéficie d’une réduction d’impôt à 66%.

Ce donateur a fait des dons à hauteur de 300€ en 2017

Il l’a déclaré en juin 2018 dans sa déclaration 2018 sur les revenus 2017. En septembre 2018, le donateur reçoit son avis d’imposition et son reste à payer s’adapte en fonction de sa réduction d’impôt de 198 € (66% de 300 €)

Le 15 janvier 2019, ce donateur bénéficiera d’une avance sur ses réductions d’impôt calculée sur ses dons faits en 2017 de 60%, soit 118,8 €.

Ce donateur fait des dons à hauteur de 300€ en 2018

Il le déclarera en juin 2019 dans sa déclaration 2019 sur les revenus 2018. En septembre 2019, le donateur reçoit son avis d’imposition. Il obtiendra le remboursement de sa réduction d’impôt sur les dons faits en 2018, soit 79,2€ (198 € de réduction d’impôt à laquelle il a droit – l’avance de début d’année de 118,8 €).

Le 15 janvier 2020, ce donateur bénéficiera d’une avance sur ses réductions d’impôt sur ses dons faits en 2018 de 60%, soit 118,8 €.

 

Ce donateur fait des dons à hauteur de 300€ en 2019

Il le déclarera en juin 2020 dans sa déclaration 2020 sur les revenus 2019. En septembre 2020, le donateur reçoit son avis d’imposition. Il obtiendra le remboursement de sa réduction d’impôt sur les dons faits en 2019, soit 79,2€ (198 € de réduction d’impôt à laquelle il a le droit – l’avance de début d’année de 118,8 €).

Le 15 janvier 2021, ce donateur bénéficiera d’une avance sur ses réductions d’impôt sur ses dons faits en 2019 de 60%, soit 118,8 €.

Faire un don en faveur de la Fondation

En savoir + sur le prélèvement à la source et votre don à la Fondation

En savoir + sur le prélèvement à la source mis en vigueur en janvier 2019

Inauguration de l’espace Transition à l’HEGP à Paris

Conçu par Philippe Starck et parrainé par le chanteur Amir, cet espace, qui bénéficie d’un soutien financier de la Fondation, a vocation à accompagner la transition des jeunes patients atteints de pathologies rares et/ou chroniques, des services de pédiatrie vers les soins adultes.

Sa création participe à la concrétisation du projet « Transition » de l’hôpital européen Georges-Pompidou AP-HP, lancé début 2016  et piloté par le Pr Christophe Cellier, chef du pôle cancérologie, spécialités des Hôpitaux universitaires Paris-Ouest, et par Charlotte Cardin, directrice coordinatrice du projet.

  • L’espace physique « Marina Picasso » au cœur du projet

Conçu à titre gracieux par le créateur français Philippe Starck, l’espace « Marina Picasso », est un lieu ouvert, d’une superficie de 41 m², conçu comme un univers fantasmagorique, couronné d’un immense soleil suspendu et animé de projections d’images de la galerie des Glaces réalisées avec le soutien du château de Versailles. Cet espace, où le rêve est roi, porte le nom de sa principale donatrice, Marina Picasso, grande bienfaitrice de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France.

« Un château fantasmagorique, incroyable, magique, tout d’or et de pourpre où règne un gigantesque soleil. Rêver est vital. » (Philippe Starck)

Ce projet, ayant bénéficié d’un soutien de 283 540 euros de la Fondation, a été élaboré avec l’aide de jeunes patients, afin qu’il réponde aux besoins et attentes des adolescents et jeunes adultes concernés par cette phase de transition des services pédiatriques à services adultes.

L’espace Marina Picasso propose des activités variées et complémentaires :

C’est un lieu chaleureux, « hors du soin », où les jeunes peuvent se retrouver entre eux, se reposer et se divertir. Des mini-espaces de transition vont être aménagés au sein des services d’hépato-gastroentérologie, de médecine interne et de cardiologie afin de permettre aux jeunes patients, ne pouvant se rendre au rez-de-chaussée, d’en bénéficier.

Afin de renforcer l’autonomie de ces jeunes patients dans la gestion de leur maladie, l’espace Marina Picasso propose des échanges entre pairs, des déclinaisons d’ateliers thérapeutiques et des conférences dispensées par des psychologues cliniciennes sur le vécu de la pathologie au quotidien. Des dépliants sur le parcours de soin et l’organisation de l’hôpital sont par ailleurs mis à disposition.

Cet espace offre aussi la possibilité aux jeunes de prendre soin de leur corps parfois malmené par la maladie, grâce à des séances de massage et ateliers de réflexologie, de maquillage, de travail sur l’image de soi animés par des professionnels.

La pratique d’une activité sportive y est également possible : un vélo d’appartement est mis à disposition et des ateliers collectifs sont organisés par des associations et des masseurs-kinésithérapeutes de l’hôpital.

L’espace Marina Picasso propose également à ces jeunes patients un accompagnement dans la préparation de leur avenir et de leur projet de vie. Ils peuvent être aidés dans leur recherche d’information sur comment vivre avec cette maladie à l’âge adulte. Des travailleurs sociaux interviennent également sur la question des droits des personnes atteintes de pathologiques dans l’univers professionnel ou académique.

  • Déploiement d’autres outils dédiés

Au-delà de l’espace « Marina Picasso », le projet Transition de l’hôpital européen Georges-Pompidou AP-HP vise à créer une passerelle entre la pédiatrie et les soins adultes, en prévoyant notamment :

> La création de journées d’accueil pour aider les jeunes patients à apprivoiser leur nouvel environnement et à identifier les différents interlocuteurs qu’ils pourront solliciter en cas de besoin, et pour accompagner les parents dans leur nouveau rôle.

Le déploiement d’outils numériques pour faciliter les échanges d’information entre les différents professionnels de santé et aider les patients à se repérer et à devenir autonomes. Des visites virtuelles seront par exemple bientôt possible.

> La formation des professionnels, afin de renforcer la sensibilisation des équipes à la problématique de la transition : l’AP-HP propose des formations de prise en charge soignante des adolescents dans des services adultes. L’hôpital européen Georges-Pompidou se donne pour objectif de former au moins un professionnel de chaque service sur cette thématique. Les soignants auront aussi la possibilité de s’appuyer sur les nouveaux coordonnateurs de parcours.

Top Chef à l’hôpital !

Parvenir à concilier une alimentation à la fois adaptée à la pathologie et aux recommandations nutritionnelles avec les goûts des enfants, tel est l’objectif des ateliers de cuisine thérapeutiques. Ces moments, partagés dans la bonne humeur, avec les soignants, les familles, et de plus en plus souvent en présence de chefs, relèvent à la fois du soin et du plaisir.

La préparation d’un plat fait appel à un certain nombre de notions : l’anticipation, la maîtrise du temps dont on dispose pour la recette, l’attente pendant la phase de cuisson et le contrôle. Le patient expérimente des mélanges, travaille sa dextérité et sa motricité. Ses sens sont en éveil : le goût, l’odorat, le toucher, la vue et l’ouïe. Enfin, il découvre la joie « d’avoir fait lui-même » et surtout celle de partager.

Chez les adolescents souffrant de troubles du comportement alimentaire, le principe de l’atelier est d’apprendre à dédramatiser face aux aliments caloriques et d’acquérir des repères pour se reconstruire.

A l’hôpital de Chevilly Larue, la Fondation a accompagné, à hauteur de 6 854 euros, un beau projet de transformation de cuisine traditionnelle en « café-théâtre » destiné à des enfants souffrant de troubles envahissants du développement ou de spectres autistiques. Agés de 6 à 14 ans et présentant tous un intérêt pour la nourriture, des repas sont organisés pour eux autour de spectacles à visée thérapeutique et pédagogique.

159 cuisines pour personnes âgées hospitalisées cofinancées par la Fondation : ce chiffre témoigne de l’engouement des équipes hospitalières pour les animations et les activités de groupes auxquelles elles donnent lieu. La cuisine est un lieu familier dans lequel on se sent bien et qui rassure. Cette atmosphère va favoriser le dialogue entre résidents : on se remémore des recettes que l’on faisait pour sa famille, ses enfants quand ils étaient petits. C’est l’occasion de faire travailler sa mémoire : tel plat est-il plutôt d’été ou d’hiver ? L’atelier stimule les capacités cognitives, la concentration, l’attention, l’organisation, la compréhension. Il permet de retrouver des gestes familiers et de stimuler tous les sens. Cuisiner c’est aussi allier le besoin de manger à la notion de plaisir. Et, partager le mets que l’on est fier d’avoir confectionné, avec les soignants, la famille, les enfants dans le cadre de rencontres intergénérationnelles, procure une grande satisfaction.

A l’EHPAD du Centre Hospitalier de Janzé (35), grâce à une subvention de 15 000 euros de la Fondation, une cuisine thérapeutique permet de mener des animations de groupes régulières, ludiques et conviviales. Dans le cadre de l’opération + de Vie, en octobre prochain, une équipe de la Fondation aura le plaisir de se rendre sur place pour les découvrir et les partager.

Au total, 223 projets de cuisine thérapeutique ont été financés à hauteur de 1 000 000 d’euros.

L’espace multisensoriel : une bulle de bien-être

Espace multisensoriel à l'hôpital
Espace multisensoriel

Si cette approche originale et non médicamenteuse de la prise en charge du patient concernait à l’origine davantage les maladies comportementales, elle s’est développée auprès d’une population plus large et notamment les personnes âgées atteintes de maladies neurodégénératives ou non.

A Dieppe, au Centre de Jour Infanto-Juvénile Winnicot, Fabienne Rouby, Psychomotricienne nous fait part de son expérience. Sur un groupe d’enfants, âgés de 6 à 12 ans, atteints de pathologies différentes, à qui elle propose des séances hebdomadaires d’une durée de 20 à 50 minutes, elle note des réactions très variées : l’un s’est endormi pendant les massages, l’autre s’est couvert la tête pour mieux observer la colonne à bulles et a verbalisé des émotions très précises. Un autre s’est concentré sur les odeurs qui l’ont aidé à se détendre. Un autre encore a manifesté des angoisses d’hydrocution en posant des questions sur les lumières et les bulles… « Ce dispositif ne laisse jamais indifférent, nous dit cette professionnelle de santé ; il peut accompagner des moments de grande régression qui, dans le meilleur des cas, permettent aux enfants de restaurer quelque chose de leur histoire, en lien avec les premiers soins, le maternage, et contribue à développer ou consolider leur identité ».

A l’EHPAD La Fontaine, de Blanzat (63), l’espace multisensoriel est utilisé pour les résidents qui souffrent de troubles du comportement, de désorientation spacio-temporelle, d’angoisse, de stress ou qui ont subi des deuils. Les soignants préparent la personne à la séance et, en tenant compte de ses désirs, lui proposent le diffuseur d’arômes pour raviver ses souvenirs, le toucher-massage pour la détendre, des jeux tactiles à l’aide de textures différentes, les colonnes à bulles pour ses effets hypnotisants et la stimulation visuelle.

Que ce soit pour les enfants, les adolescents ou les personnes âgées, les bienfaits des espaces multisensoriels sont indéniables : la douleur est atténuée, les angoisses et l’agressivité diminuées et la relation soignant-soigné s’en trouve considérablement améliorée.

De nombreux établissements qui ne peuvent disposer d’un véritable espace optent pour un chariot, muni d’un équipement adéquat, qui se déplace de chambre en chambre.


En gériatrie, la Fondation a financé 254 projets : montant 1 378 000 euros

En pédiatrie et pour les adolescents, 141 projets ont été accompagnés à hauteur de 660 000 euros

Soit un total de 395 projets pour 2 038 000 euros.

A l’hôpital… la tête dans les nuages

Espace Plein Ciel

C’est en ces termes que Sophie Le Faou, animatrice socioculturelle, parle de l’Espace Plein Ciel qu’elle a découvert en 2008 et qu’elle n’a plus quitté.

Ce service atypique, unique en France, est né en 1994, grâce à la volonté d’une équipe pluridisciplinaire et le soutien indispensable de la Fondation.

Hors des soins, des bruits de machines, des blouses blanches et du cadre médical, l’Espace Plein Ciel permet aux jeunes malades de se ressourcer dans un cadre qui leur est familier, car créé à leur image et évoluant selon leurs envies. Une équipe de bénévoles accompagne ces jeunes dans des activités de créativité et de loisirs : instruments de musique, jeux de société et vidéos, films, baby-foot, billard sont à leur disposition. La mélodie du piano se mêle au son de la batterie dans la salle de musique, tandis que de la cuisine s’échappent les bonnes odeurs de chocolat ou de crêpes rajoutant à cette joyeuse atmosphère une note apaisante et chaleureuse.

Bénévoles, animateurs professionnels ou jeunes effectuant leur service civique élaborent, tout au long de l’année, des projets culturels qui conduisent les patients à créer, évoluer, se révéler, s’épanouir. L’Espace Plein Ciel est avant tout un lieu de mixité sociale et culturelle, de rencontres, d’échanges … de vie !

La mission de Sophie consiste à prendre en charge un individu dans sa globalité, au sein d’un environnement spécifique en lui transmettant les outils éducatifs et culturels qui favoriseront son épanouissement personnel. L’adaptabilité est le mot d’ordre et cette parenthèse au milieu des soins, renforce la conviction de Sophie que l’animation participe fondamentalement du bien-être à l’hôpital.

Ce sont cet ensemble de richesses et l’identité propre de ce service qui nourrissent son engagement auprès de tous les jeunes patients qui luttent pour un avenir meilleur, une vie à construire, des projets à vivre.

La Fondation a financé l’Espace Plein Ciel de Necker pour un montant de 125 000 euros.

Elle a également accompagné la création des Espaces Plein Ciel du CHU Gatien de Clocheville de Tours, de l’Hôpital Robert Debré AP-HP à Paris, du CH de Chambéry et du CH de Vandoeuvre les Nancy à hauteur de 183 191 euros.

Que faire de sa tirelire après le 17 février 2018 ?

Tirelire Pièces Jaunes 2018

Rien de plus simple :

  • Vous pouvez la déposer au siège de la Fondation – 13 rue Scipion Paris (5e)
  • Vous pouvez faire un don sur internet équivalant à la somme collectée dans votre tirelire >> se rendre sur https://don.piecesjaunes.fr (formulaire de don sécurisé)
  • Vous pouvez envoyer un chèque équivalant à la somme collectée dans votre tirelire >> à envoyer ici : Pièces Jaunes – 13 rue Scipion Paris (5e)

Encore une fois, MILLE MERCIS à vous tous pour votre mobilisation en faveur des Pièces Jaunes et destinée à améliorer le quotidien des enfants et des adolescents hospitalisés.

>> Si vous souhaitez avoir accès à nos comptes

« Semons l’espoir »

Semons l’ESPOIR

Qui est M. Pierre Dornier ?

Dès 1986, Pierre Dornier s’engage au sein de l’Association « Semons l’espoir » pour améliorer les conditions d’hospitalisation des enfants et adolescents, en relation avec le Professeur Emmanuel Plouvier, Chef du service d’hémato-oncologie pédiatrique du CHRU de Besançon. Il promet alors à sa fille Emilie, atteinte de leucémie, passionnée de montagne, qu’à l’âge de 15 ans, il l’emmènerait gravir le Mont-Blanc. En 1993, prêts à partir, ils décident de partager cette expérience avec d’autres enfants malades, mais aussi avec les parents, les équipes médicales et les fratries : les sommets de l’espoir étaient nés. Aujourd’hui Emilie n’est malheureusement plus là, mais pour les jeunes qui le peuvent, l’aventure continue chaque année avec, pour objectif, l’ascension d’un sommet symbolique, comme un dépassement de soi, un message d’espoir !

Qui sont Bertrand et Anthony ?

Souffrant d’un cancer, Bertrand participe aux sommets de l’espoir de 1996 à 2000, « l’année du Mont-Blanc ». Guéri, il est présent lors de chaque nouvelle ascension pour encourager les participants et échanger avec eux sur les expériences des uns et des autres. La maladie, c’est une page de sa vie que Bertrand ne veut pas refermer mais, au contraire, partager.

Quant à Anthony, victime d’une leucémie à l’âge de 3 ans, il a pris part pendant plusieurs années aux sommets de l’espoir, notamment en 2000 avec Bertrand. Il se découvre très vite une passion pour l’escalade et le ski de randonnée et améliore sa technique au point qu’il décide de se présenter à l’examen probatoire de guide qu’il réussit. Aujourd’hui, Anthony accompagne en professionnel et avec une grande fidélité, les cordées des sommets de l’espoir, très attaché à l’esprit de solidarité et de fraternité qui y règne.

Qui sont Julia et Sophie ?

Julia a été emportée l’an dernier à l’âge de 19 ans par un cancer des os qui avait entrainé l’amputation de sa jambe gauche. Elle était un modèle de courage et de joie de vivre. Pour l’amour de sa fille qui se plaisait tellement en haut des montagnes, Sophie, sa maman, s’est engagée au sein de l’Association. Elle œuvre auprès des jeunes qui mènent eux aussi un dur combat contre la maladie à travers les sommets de l’espoir. Julia lui a donné sa force pour poursuivre la voie qu’elle avait tracée.

Les sommets de l’espoir sont indissociables de la Maison des familles de Besançon. Ils constituent une formidable aventure humaine en perpétuant l’envie de se battre et d’aller toujours plus haut car au-delà de la maladie, il y a… la vie.

La Fondation, qui a soutenu l’association « Semons l’espoir » dès ses débuts, a subventionné la Maison des Familles de Franche-Comté à hauteur de 300 000 euros et 17 séjours à la montagne pour un montant s’élevant 147 405 euros.

#DonnerCestStylé 2018 – Le Challenge Pièces Jaunes

#DonnerCestStylé - Le Challenge Pièces Jaunes 2018

Donner c’est stylé

Comment y participer ? (c’est gratuit et ouvert à tous)

1. Va chercher ta tirelire Pièces Jaunes 2018 à la Poste.

2. Réalise ta vidéo « fait maison » (sur smartphone au format vertical) en essayant de faire rentrer une pièce de la façon la plus « stylée » qui soit.

3. Poste-la sur tes réseaux sociaux en mentionnant le compte Pièces Jaunes pour qu’on puisse te suivre.

4. Défie ta communauté Facebook, Instagram, Youtube et Twitter, propose-lui de relever le défi proposé par les Pièces Jaunes !

5. N’oublie pas de mentionner d’aller chercher sa tirelire à la Poste, et de la ramener ensuite remplie (si possible) avant le 17 février 2018.

A vous de jouer & MERCI !

#piècesjaunes2018 #DonnerCestStylé
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Voir la vidéo de lancement #DonnerCestStylé

Voir les vidéos déjà postées sur la playlist Youtube #DonnercestSylé