Pierre Dornier : l’engagement, une histoire de famille…

Ingénieur Agronome, Pierre Dornier, se consacre à des entreprises agroalimentaires dans l’ouest de la France avant de revenir dans sa région, la Franche-Comté, pour reprendre l’entreprise familiale, tout en ayant également une activité d’ingénieur-conseil dans une société d’ingénierie agroalimentaire à Rungis, en région parisienne. L’aménagement de son activité a été rendue nécessaire par la maladie des deux filles aînées de Pierre et Charlyne Dornier. En effet, elles étaient soignées dans le service du Professeur Claude Griscelli, à l’hôpital Necker à Paris.

Les rencontres avec le Professeur, l’ambiance du service, dans lequel les parents étaient complètement associés à l’équipe en charge du suivi de leurs enfants, ont fait que, malgré le décès de Valérie et Emilie, Pierre et Charlyne se sont engagés dès 1986 pour améliorer les conditions d’hospitalisation des enfants et de leurs familles à Besançon en relation avec le Professeur Plouvier.

L’association « Semons l’Espoir » était née, fédérant dans ce vaste mouvement de solidarité, de nombreuses familles et nos deux autres enfants Mathieu et Pauline, qui ont constamment été présents auprès de nous et de leurs sœurs, et ont participé aux actions de l’association. Cela leur a donné la force de réaliser pleinement leurs vies. Mathieu est ingénieur agronome, a créé Campo Vivo au Mexique et s’est engagé dans une association « Renacimiento » qui s’occupe des enfants de la rue. Pauline est également agronome et vétérinaire et est installée à Rennes. Nous avons la joie et la fierté d’être grands-parents de 3 petits garçons… pour l’instant.

Claude Griscelli devenu en 1989 Président de la Fondation, les contacts et échanges ne se sont jamais interrompus. Cela se concrétisera par l’organisation des premiers « Sommets de l’Espoir » en 1994, projet d’Emilie. La cordée Franc-Comtoise, réunissant parents, enfants et médecins, a ainsi réalisé pour la première fois un parcours à plus de 4 000 m dans les Alpes, pour témoigner sur le cancer, sur le parcours difficile des familles au cours des divers traitements subis mais aussi sur le courage des enfants atteints et leur détermination à vaincre la maladie. Ce projet a été l’un des premiers de ce type soutenus par la Fondation.

L’accompagnement de la Fondation ne s’est jamais démenti et a permis également de réaliser la première Maison des Parents à l’Hôpital Saint-Jacques à Besançon en 2001 et dernièrement la Maison des Familles à l’Hôpital Minjoz qui a ouvert ses portes début 2015. Cette maison, qui accueille également des parents de patients adultes, est plus qu’un lieu d’hébergement, c’est un lieu de vie au CHR de Besançon, un lieu entre la maladie et l’après-maladie, une passerelle entre l’hôpital et le monde extérieur. Améliorer les conditions d’accueil des accompagnants des malades, financer des réalisations au sein des services hospitaliers de Franche-Comté, positionner la Maison des Familles comme un lieu d’accueil au sein du parcours de santé, fortifier le rôle du CHR sur son territoire, tels sont ses objectifs.

Au-delà de l’apport financier, indispensable, le rôle de la Fondation est important car elle nous permet d’entretenir un réseau avec d’autres entités similaires en France et de réfléchir ensemble pour améliorer le fonctionnement de ces structures d’accueil. Obtenir l’agrément de la Fondation, c’est soumettre à analyse le projet (cohérence, faisabilité, viabilité, pertinence), obtenir des conseils pour en améliorer les contours et c’est enfin un gage de qualité pour la reconnaissance au niveau local.

D’autres projets ? Bien sûr ! Car « Semons l’Espoir » continue avec beaucoup de solidarité et d’aide dans cette région Franc-Comtoise. En particulier, soutenir d’autres associations en mettant à disposition les locaux de la Maison des Familles et prévoir son extension.

Mais aussi à travers les projets « Sport et Cancer », « Nutrition et Santé », et à travers le « Jardin de l’Espoir », collaborer avec les services hospitaliers notamment la pédopsychiatrie, et s’intéresser à d’autres pathologies, tels le handicap et l’autisme. « Semons l’Espoir » a depuis tissé un partenariat avec le Maroc et le Mexique.

L’hôpital en voyage

Se distraire, étudier, jouer, lire, faire du sport, voilà qui est pratique courante à l’hôpital, grâce à la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France qui finance des ateliers de peinture, de cuisine, de jardinage, l’achat de matériel informatique, de jeux, d’équipements divers… etc… Mais partir en randonnée, disputer une régate, gravir un sommet, faire de l’équitation, non seulement cela ne tient plus du rêve mais concerne de plus en plus de jeunes patients.  En effet, la Fondation, dont l’un des objectifs a toujours été de permettre au malade de vivre sa vie d’enfant ou d’adolescent, accompagne et encourage ces initiatives.

Pour des enfants que la maladie a mis à mal, participer à ces séjours, ce n’est pas simplement franchir les murs de l’hôpital, c’est avoir l’occasion de découvrir des sensations qu’ils ne soupçonnaient pas, relever des défis, se surpasser, reprendre confiance en eux.

Ces séjours, sur des thèmes divers, se déroulent avec une équipe soignante qui leur est familière et assure leur prise en charge. Des expériences nouvelles leur sont offertes, comme la voile en Bretagne pour l’hôpital Robert Debré de Paris, les arts du cirque pour des petits patients de Brest, la piste des oasis au Sénégal pour de jeunes polyhandicapés de Garches, la découverte des capitales européennes pour les hôpitaux de Marseille… Il existe également des séjours d’éducation thérapeutique pour permettre aux enfants et adolescents de mieux vivre leur maladie, comme pour les diabétiques suivis aux CHU de Toulouse et de Mulhouse. Un véritable travail éducatif se met en place, pour aider l’enfant ou l’adolescent à gérer, en situation, sa maladie, son régime, l’observance thérapeutique ou son activité physique. De plus, ces jeunes, qui passent la plupart de leur temps isolés dans leur chambre, sont très heureux de se retrouver les uns avec les autres.

« Si mes copains me voyaient ! » ou encore : « Si je n’avais pas eu de cancer, je n’aurais jamais connu ça ! ». Ces remarques touchantes illustrent la fierté de l’apprenti-marin à bord du mythique Pen Duick II d’Eric Tabarly ou du globe-trotter, qui sillonne les routes du Pays Basque à bord d’une roulotte.

Depuis sa création, la Fondation a subventionné 476 séjours pour un montant d’un peu plus de trois millions d’euros, à la campagne, à la mer, à la montagne dans les capitales européennes, des parcs d’attraction, ou sous forme de rencontres scientifiques en partenariat avec le CNRS ou l’INRA…. 8 220 enfants en ont bénéficié.  Ce type d’activités est enrichissant pour les patients, les soignants et les familles qui retrouvent leurs enfants ravis et épanouis. 17 nouvelles demandes de financement nous ont été adressées pour 2016.

Les gagnants du jeu concours Pièces Jaunes et du Prix + de Vie

Le jeu concours de la tirelire existe depuis 2009, il a permis à 160 enfants accompagnés de leurs familles de passer un week-end de rêve à Disneyland Paris. Ce jeu, ouvert à tous les enfants âgés de 6 à 14 ans habitant la France métropolitaine et les DROM, a eu lieu du 6 janvier au 13 février 2016.

Pour participer au concours, il fallait réaliser une photo de soi devant un bureau de poste, avec la tirelire Pièces Jaunes 2016 et un accessoire de couleur jaune (T-shirt, lunettes…). La Fondation a reçu plus de 550 participations, 20 enfants ont été tirés au sort par un huissier.

Chaque gagnant a été invité avec trois personnes de son choix par Disneyland Paris, les 15 et 16 avril 2016 pour vivre deux jours de rêve en famille. Au programme : accueil des gagnants par Eric Pires Augère, Chargé de Mécénat avec une remise du diplôme de Citoyen d’Honneur de Disneyland Paris par Mickey et le chanteur Olympe, révélation de The Voice 2. A l’issue de cette cérémonie, les familles ont eu accès libre aux deux parcs afin de profiter des attractions. Le soir venu, les enfants et leur famille ont été logés à l’hôtel New-York.

Le mois d’avril met également les personnes âgées à l’honneur avec le Prix + de Vie, récompensant les trois établissements hospitaliers qui se sont le plus mobilisés pendant la campagne de solidarité en faveur des personnes âgées, + de Vie, qui a lieu chaque année au mois d’octobre. Les lauréats sont : le Centre Hospitalier Métropole Savoie à Chambéry, l’EHPAD Groisne Constance à Culhat et l’EHPAD La Louisiane à Pionsat. Les Prix leur seront remis par Bernadette Chirac, Présidente de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, au cours d’une cérémonie qui aura lieu le 21 juin 2016.

Groupe scolaire La Salle à Lille : toujours plus pour les Pièces Jaunes

L’ensemble scolaire La Salle accueille 2 500 élèves et étudiants, de la maternelle au campus post-bac. Il se veut avant tout un lieu d’humanité où il n’est de vraie réussite que l’attention portée à l’autre. L’ouverture se vit au travers de nombreux projets solidaires et internationaux. L’ensemble scolaire est également très dynamique d’un point de vue pédagogique, il est souvent cité en exemple pour son développement numérique.

L’équipe pastorale a répondu à l’appel d’un parent d’élève, déjà ambassadeur Pièces Jaunes. L’idée a séduit, comme exercice concret de responsabilisation des délégués de classe autour d’un projet solidaire. Cette opération peut aisément être organisée au niveau d’une classe et peut donc fédérer et dynamiser le groupe.

Sous l’impulsion des délégués, toutes les classes de la maternelle aux terminales ont joué le jeu, chacune avec sa ou ses tirelires Pièces jaunes. Certaines classes ont réussi à remplir jusqu’à 3 tirelires. L’opération a essaimé avec une vente de sucettes pendant les portes ouvertes à l’initiative de quelques collégiens et l’idée de reverser aux Pièces Jaunes une partie des bénéfices de la mini-entreprise du Collège.

Cette année, l’ensemble scolaire avait été choisi comme « établissement Pièces Jaunes ». Cela a permis d’évoquer l’hôpital, son fonctionnement et les réalisations de la Fondation. Le chanteur Olympe et Miss France 2007, Rachel Legrain Trapani, originaires tous deux de la région ont participé à l’évènement festif organisé pour la clôture de Pièces Jaunes. 57 kg de pièces ont été remis à la Poste centrale de Lille.

L’échange avec la Fondation s’est poursuivi en mars avec son intervention lors de la « Journée de l’engagement » : ce fut l’occasion d’évoquer avec les élèves la volonté de s’engager dans notre société et les différentes manières d’agir avec la Fondation.

Les élèves et la direction du groupe scolaire ont déjà pris rendez-vous pour l’année prochaine et réfléchissent à l’organisation d’un cross au profit des enfants hospitalisés.

Guy Hoquet l’Immobilier : une mobilisation exceptionnelle pour les Pièces Jaunes !

Du 6 janvier au 13 février 2016, le réseau Guy Hoquet l’Immobilier s’est associé à l’opération Pièces Jaunes, auprès de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France. Premier réseau immobilier partenaire de l’opération, Guy Hoquet s’est engagé pour le rapprochement des familles et contribue à aider les parents à se loger à proximité de leurs enfants hospitalisés.

22500 tirelires distribuées dans toute la France dans les agences Guy Hoquet l’Immobilier, une dotation supplémentaire de la part du siège du réseau, des agences qui s’engagent individuellement pour booster la collecte via des actions singulières, ainsi que des dons prélevés directement sur les honoraires lors de signatures de compromis de vente dans le cadre d’un mandat exclusif, mais aussi des challenges internes pour motiver les équipes… C’est toute l’enseigne qui est concentrée sur un objectif : aider et soutenir les enfants et les adolescents hospitalisés grâce à la collecte de petites pièces qui seront redistribuées à la fondation Hôpitaux-de-Paris Hôpitaux-de-France.

« Etre partenaire d’une telle opération, c’est une première pour un réseau immobilier, et cette action trouve tout son sens lorsqu’on sait qu’une partie de la collecte sera utilisée en vue de la construction de logements pour les familles à proximité des hôpitaux, afin qu’ils puissent rester au plus proche de leurs enfants », explique Fabrice Abraham, Directeur Général du réseau Guy Hoquet l’Immobilier.

Sur le terrain, le réseau, qui rassemble 450 agences, a mis du cœur à l’ouvrage pour remplir pleinement cette fonction d’ambassadeur de l’opération caritative, non seulement en distribuant pas moins de 22 500 tirelires dans toute la France, mais aussi, pour certaines, en allant plus loin. « Nous avons assisté à des initiatives très diverses, explique Fabrice Abraham, preuve d’un engouement sans faille du réseau pour cette action. Une agence a mobilisé toute une école primaire pour récolter des fonds, une autre a installé un château gonflable sur une place pour sensibiliser les enfants et leurs parents, une dizaine d’agence a décidé de reverser 50 euros par mandat exclusif signé directement à l’association », se réjouit le Directeur Général du réseau. « C’est pourquoi nous souhaitons motiver notre réseau pour une nouvelle participation à cette opération emblématique ! »

Du côté du siège, l’implication a été totale, avec un engagement de don direct d’une valeur de 100 000 euros à l’association Hôpitaux de Paris, ainsi que la collaboration de l’agence Publicis pour toute la campagne de communication de l’opération.

Les coulisses de l’opération Pièces Jaunes

Les tirelires distribuées dans le cadre de l’opération Pièces Jaunes 2016 ont maintenant rejoint les bureaux de poste et c’est à la Banque de France, partenaire historique de la Fondation, qu’il appartient de comptabiliser toutes les pièces collectées. Une estimation permettra à notre Conseil d’Administration en juin prochain et de décider du nombre de projets qui seront retenus parmi les 300 qui nous ont été adressés pour cofinancement.

Ces projets s’inscrivent dans nos champs d’action, comme le rapprochement des familles et la prise en charge des adolescents en souffrance mais concernent également deux axes d’intervention plus récents, le Répit et la Transition.  Citons quelques exemples de ces projets : tout d’abord, la création de 2 Maisons des Parents à Nantes et Orléans et l’extension de celle de Clermont-Ferrand.  La Fondation, depuis toujours, est très attachée à ce que l’hospitalisation des jeunes patients ne soit pas un facteur de rupture avec la vie familiale et sociale. En subventionnant la construction de Maisons des Familles ou des Parents, l’aménagement d’espaces de rencontre conviviaux, elle tente de créer un univers chaleureux et réconfortant à l’hôpital, qui favorise bien-être et guérison.

Concernant le programme « adolescents » mis en place en 2004, il se poursuit parce qu’il répond à un réel besoin. Dix nouvelles demandes nous sont parvenues pour 2016, parmi lesquelles le projet d’agrandissement de la structure de Vandoeuvre-Lès-Nancy en Meurthe et Moselle, l’aménagement d’antennes comme à Avranches dans la Manche, à Flers dans l’Orne, à Béziers dans l’Hérault ou encore la création d’une équipe mobile à Guéret dans la Creuse. Rappelons qu’à ce jour, la Fondation a subventionné 60 structures pour adolescents.

La vocation de la Fondation, c’est de venir en aide aux enfants et adolescents hospitalisés. Sa force, c’est de savoir s’adapter aux nouveaux besoins qu’engendre la société actuelle et à l’évolution du monde hospitalier. C’est pourquoi, fidèle à son rôle de facilitateur, elle poursuit son programme en matière d’humanisation de l’hôpital dans différents domaines comme le Répit et la Transition. En ce qui concerne le Répit, deux projets requièrent notre soutien, l’un à Lyon, l’autre à Marseille. Quant à la Transition, la date butoir de réception des dossiers de demandes de financement n’est pas encore atteinte, mais nous en avons d’ores et déjà reçu trois. Notre programme Transition a été lancé en 2015, et a connu dès la 1ère année, un grand succès puisque nous avons accompagné 9 projets pour un montant de 900 000 euros.

Si les tirelires devaient être rapportées au plus tard le 13 février, l’opération Pièces Jaunes se poursuit, néanmoins, toute l’année. En vous rendant sur le site www.piecesjaunes.fr et en consultant nos réseaux Facebook et Instagram, vous pourrez découvrir notre actualité et les différents moyens de nous aider à financer les nombreux projets dont vous venez d’avoir la primeur.

Vous pouvez dès à présent conserver vos petites pièces pour l’année prochaine.

On comptons sur vous !

Fête des Pièces Jaunes 2016 à Nice

Fête des Pièces Jaunes 2016 à Nice
Comme chaque année, depuis 10 ans, la ville de Nice se mobilise tout le mois de janvier au profit des Pièces Jaunes en organisant de nombreuses manifestations. Une grande fête clôturera l’opération en présence de Bernadette Chirac et Christian Karembeu.

Aider les enfants à oublier un temps leur maladie

Dans le cadre de sa politique de responsabilité sociale, The Walt Disney Company France s’engage depuis de nombreuses années pour les enfants hospitalisés.

Un engagement qui s’articule autour d’une mission concrète : divertir, sensibiliser et inspirer ceux qui en ont le plus besoin.

Depuis 2011, The Walt Disney Company France et Disney Hachette Presse sont heureux de soutenir l’opération « Pièces Jaunes » au travers de deux actions principales :

Le financement d’espaces de lecture au sein de services pédiatriques (CHU de Nantes, Service de Chirurgie Ambulatoire de l’hôpital Trousseau à Paris, CH de Saint Denis) pour permettre aux enfants de s’évader, d’oublier un temps la maladie et de retrouver le sourire. Et le don d’espaces publicitaires sur ses média télé, web et presse. L’occasion de sensibiliser le grand public sur de grands sujets de solidarité.

Par ailleurs, Disney propose également depuis plusieurs années de nombreuses animations à l’hôpital : organisation de visites de personnages Disney au chevet des enfants malades, décoration de services et lieux de vie aux couleurs de Disney, projections de films et don de produits.

 

Une maison des adolescents dans les Deux-Sèvres

Depuis l’ouverture de la Maison de Solenn en 2004, la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France poursuit son programme Maison des adolescents en région ; a subventionné à ce jour 60 structures dans la France entière. Parmi elles, l’Agora. La MDA de Niort, née d’un partenariat entre le Conseil Départemental des Deux-Sèvres, du Centre Hospitalier de Niort et du Centre Hospitalier Nord Deux Sèvres.

Le 26 octobre 2015, en présence de la Fondation, l’Agora-MDA inaugurait de nouveaux locaux. Très faciles d’accès et idéalement situés, ils s’adressent aux jeunes âgés de 11 à 25 ans, à leurs parents et aux professionnels qui gravitent autour d’eux. Ils y trouvent une réponse d’ordre médical, psychologique, social, juridique et éducatif. Des informations, des conseils et une aide au développement d’un projet de vie leur sont apportés. L’accueil par des professionnels divers y est assuré en continu et constitue pour l’ensemble des acteurs concernés par l’adolescence, un véritable lieu de ressources.

L’Agora-MDA conduit des actions collectives : interventions dans les collèges, les lycées, les maisons familiales rurales. Elle propose également des rencontres individuelles à destination des jeunes, des parents ou des deux simultanément. Un ou plusieurs entretiens peuvent être organisés pour écouter la demande, évaluer la situation et faciliter l’orientation et l’accompagnement.

Pour exercer ces différentes missions, l’Agora-MDA dispose d’une équipe pluridisciplinaire de 14 personnes expérimentées et qualifiées : coordonnateur, médecins, sages-femmes, conseillères conjugale et familiale, psychologues, assistante sociale, infirmières, éducatrice spécialisée, secrétaire. L’accompagnement est confidentiel, libre et gratuit.

L’Agora-MDA dispose également d’un lieu de ressources à Bressuire et de 5 points d’écoute à Thouars, Parthenay, Melle, Mauléon et Saint-Maixent l’Ecole, à raison d’une demi-journée tous les 15 jours.

Pour l’aménagement de cette structure, la Fondation a versé une subvention de 121 107 euros.